Nous ne vivrons pas dans l'attente de vivre, pas dans
Les peurs, la honte de nous, l'asservissement.
Être en vie c'est la conscience des autres, du nous
Humains cervelés nous pouvons vivre debout.


5 juin 2010

Les bourses sombrent les peuples écopent

La descente aux enfers continue.

C'est la reprise en trompe l'oeil !

Le 1er trimestre de la zone euro est "positif".

Mais, « Les stocks ont contribué à augmenter le PIB de 0,8 point de pourcentage sur le (1er) trimestre, les dépenses publiques de 0,1 point et les exportations de 0,9 point.
Les importations ont en revanche fait perdre 1,4 point de pourcentage, l'investissement et les dépenses des ménages respectivement 0,2 et 0,1 point. » (…)

Les économistes estiment que les tensions et les incertitudes sur les marchés financiers ont déjà commencé à peser sur le moral des agents économiques dans la zone euro, alors que les indicateurs avancés suggèrent que la croissance du PIB pourrait être modérée au second semestre. (...)

"Il semble assez probable que la dynamique de croissance s'affaiblisse de nouveau à partir du troisième trimestre", prévient Marco Valli d'UniCredit.
(Reuters, 4 juin 2010)


L'€ au plus bas depuis sa création

Les pertes à Paris comme ailleurs ont été accentuées dans l'après-midi par l'annonce de créations d'emplois aux Etats-Unis inférieures aux attentes au mois de mai. (…)

Parallèlement, l'euro a touché de nouveaux plus bas de quatre ans contre le dollar et est passé sous 1,20 dollar.
Contre le franc suisse, l'euro est tombé à son niveau le plus bas depuis le lancement de la monnaie unique en 1999 et se traitait autour de 1,3925 franc.

Les valeurs bancaires, très attaquées, ont plombé les marchés, affectées par Société générale dont le titre est revenu à son niveau d'il y a 13 mois, avant le rebond des marchés.
(Cela ) a entraîné l'ensemble des valeurs bancaires.

Après la Grèce et les pays périphériques de la zone euro, les investisseurs s'inquiètent maintenant de la situation financière de la Hongrie.
(Reuters 04 juin 2010)


Suite et fin: sommet du G20

Communiqué du G20 après deux jours de discussions entre les ministres des finances des 20 plus grandes puissances économiques du monde.

Broyeur enclenché

"Les pays confrontés à de graves défis budgétaires doivent accélerer le rythme de la consolidation. Nous saluons les récentes déclarations de certains pays sur la réduction de leurs déficits en 2010 et le renforcement de leurs cadres budgétaires et de leurs institutions"

Les mesures crédibles félicitées et encouragées sont les plans d'austérité: nous continuons à payer; plus et encore; et même que nous défendrons cet esprit corps et âme.



Taxe bancaire anihilée

Non, rien n'est fait exprès.

L'idée de cette taxe était de constituer un fonds d'urgence susceptible de financer de futures opérations de sauvetage du secteur bancaire.(...)
Le secrétaire américain au Trésor, Timothy Geithner, a souligné que la mise en oeuvre du plan de soutien décidé par les Européens à hauteur de 750 milliards d'euros limiterait les risques.
(Les échos 5 juin 2010)


L'ordre est lancé: Investissez-vous dans le plan relance économie mondiale et sortez-en vain-cul par coeur!
  • Votre contrat
Offrez de bon cœur donc votre santé et votre corps, votre temps, ainsi que votre vie, votre éducation avant tout.
  • Offert avec diligence: la possibilité de survivre, et vous la cracherez plus tard, peu importe, Le temps que vous êtes considéré rentable.
  • Bonus si vendez vos proches et polluez à outrance.
  • Systématiquement destruction de vos moyens de survie contre le droit d'être heureux de savoir que nous veillons sur vous.
  • Garantie confiance: mort silencieuse assurée, votre dignité préservée.

Tiens y'a du foot ce soir. [*]


Le leurre de la démocratie.

L'heure de l'impérialisme colonial mondial se dévoile impunément. Le corps, l'âme et l'esprit humain dissouts par la lobotomie de préférence, ou la haine et l'(auto-)élimination.
Monde inversé, Paraître part-être en passe de gober tout être vivant sur son passage.
Un vent de désolation souffle déjà.
Il tue (en silence) ceux qu'il emporte, d'autres survivent encore, et beaucoup se lève d'une longue nuit.

[Humain, prière de ne pas oublier l'Être]


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