Nous ne vivrons pas dans l'attente de vivre, pas dans
Les peurs, la honte de nous, l'asservissement.
Être en vie c'est la conscience des autres, du nous
Humains cervelés nous pouvons vivre debout.


6 juil. 2010

Boite à penser



(mis à jour le 08.07.10)
 Cerveau Omer Simpson 
IRM d'un citoyen télévisé

97% des foyers français reçoivent la télévision publique dont le chef de l'État décide désormais de la direction. Vu le travail de propagande qui porte le pouvoir actuel et l'addiction massive des gens à la télé, cette loi marque le passage au degré supérieur du programme de décervelage en masse.

Des dangers de la télé et de la propagande

Les impacts de la propagande en terme de pression sociale sont connus et considérables: cette arme de guerre, opérationnelle est omniprésente dans la société. Elle constitue un danger réel pour tous.

En mars 2010, la question "la télé donne-t-elle le droit de tuer?" est avancée, en juillet on y répond par l'affirmative: "La télé-réalité tue sa première personne en France". Elle sabre les consciences et fait de l'humain un objet.

Un être dont la conscience est manipulée a sa capacité de jugement faussée. C'est ce qui se passe au travers des chaînes, hypnose et normalisation.

arme de destruction massive des consciences    

Un enfant n'éprouve aucun recul. une génération-télé n'a PAS acquit le réflexe de recul nécessaire à la stabilité et l'épanouissement de la personne. De l'enfant ou de l'adulte qui vit sans recul sont en prise directe avec leur environnement qu'ils intègrent un peu comme une éponge. 

Sans équivoque, ce sont des gens atteints du syndrome de "l'homme pressé" qui se chargent de définir le grand programme.




De la possession mentale et physique

Devant une télé, nous sommes bombardés d'émotions vives et contre productives. La pensée et le mouvement sont endormis tandis que l'affectif est sur-actif. L'équilibre corps-esprit est rompu.

Les émotions sont l'indicateur de notre degré d'épanouissement et sont nécessaires pour expérimenter la vie. Mais réagir avec émotion face à une scène télévisuelle fait pression sur notre indicateur émotionnel et se répercute donc sur notre qualité de vie.
Affection télévision
André François
Les émissions sont dirigées avec intention. Elles provoquent des stimulus déplacés, affectant inconsciemment les téléspectateurs et s'approprient leur cerveau, leur corps, leur temps de vie.

Une émission, une star et autre entité se nourrit de l'affection qu'on lui porte et n'en porte jamais. S'y soumettre, c'est privilégier un espace de contre-vie, soit en sacrifier une partie. Le seul retour de cette offrande c'est l'anesthésie, la corruption, l'abrutissement et l'asservissement. Le faux dieu en demande plus, et ne rend jamais que la soumission.

Rester maître de ce qui doit ou non s'ancrer en soi est vital.

Addiction sévère

L'état hypnotique dans lequel nous plonge les émissions de télé nous dépossède de nos émotions, et influe sur le comportement. Déjà le temps répandu en insipidités ne sert pas à vivre.

Des contestations s'élèvent pour affirmer que "je sais faire la part des choses et ne me soumets pas au marketing". Et bien qu'"il n'y a rien à la télé", tous les jours ça braille au rythme infernal du rétro-éclairage du poste qui se prend pour un stroboscope. À fond les émissions au sein des foyers.

télé hypnose
Doc vidéo Evidence sur Xibéria.

Des dires populaires on entend: "les programmes sont nuls", "la pub n'est faite que pour le fric". Cette infrastructure clinquante est financée par une grande partie de l'argent public, ce sont les politiciens, les marchés et les lobbies qui s'en servent. Ha, ha, ha, "tout le monde le sait". Et entre un "boarf la télé" et un "ha non, encore le même film!" se glisse un aberrant "pas possible de vivre sans télé, ni même de l'imaginer". L'addiction est installée au point d'imposer un raisonnement incohérent.


De gros boulets

Le réseau mondial de la télévision applique une pensée unique aux êtres humains, pourtant tous différents. La communication est imposée, non partagée. La télé entend cultiver (au sens céréalier) l'homme, non l'inverse. La tête sous la faucheuse, mais au moins c'est en 3D.

Le temps passé devant le petit écran est nocif. Mais c'est du temps de vie quand même.
La télé n'est pas un besoin social. Une personne qui ne l'a pas n'est pas exclue ni se s'exclue. Des enfants qui grandissent sans sont plus ouverts que les autres.

Sans télé le cerveau ne s'encombre pas de slogans débilitants, de préjugés et n'éprouve pas d'infantilisation, de stress inutile et regagne la possibilité mieux s'enrichir.

Le télé verrouille l'imaginaire, provoque des émotions malsaines, amène l'ennui par la passivité, cultive la solitude, empêche la communication. Cette déferlante de stimuli visuels et auditifs envahissants tue le repos réparateur indispensable à tous pour se ressourcer. Ça nous intoxique.

main cornue de N.Sarkosy



S'enchainer, en plus d'être mauvais pour le corps, c'est procurer à d'autres son esprit, son âme, sa conscience, sa vie.


Traité de vampirisme (extrait)
La télévision, introduction

Bonne cellule éducative, l'audio-visuel monopolise la vue, l'ouïe et l'attention. Omniprésents les canaux captent puis modulent la conscience des sujets. Au sens propre la télé-vision leur fournit des chaînes.

Les évènements médiatiques sont créés pour les besoins vampiriques. Ils ajustent le temps d'incubation de l'opinion selon une longue période, ou sur un temps concis.
Ex: imposer une forme de culture sur une génération (le top 50), ou générer un comportement de masse spontané sur un coup d'annonce. (La fin du Nutella)

La manipulation des chaînes touche tout ou partie des sujets et permet une application très ciblée.
Ex: orienter un électorat, une classe de consommateurs, influencer les jeunes. Et en général désensibiliser, exposer l'audimat à la violence et à l'exhibitionnisme.


Briser les chaînes

Des connexions neuronales doivent se créer uniquement pour la "fonction télé" qui tisse un réseau de comportements conditionnés: → allumer par automatisme le poste → s'y soumettre même quand il dérange → regarder à heure fixe des programmes qui mettent à jour les connexions neuronales... qui conditionnent d'autres comportements.
Blanchon, les malmenés, télévision par perfusion
Blachon, les malmenés, Stock, 1990

Couper la transmission à sens unique de la télévision, c'est restaurer un équilibre certain, briser l'enfermement autistique.

Éteindre le téléviseur pour ne plus le rallumer est libérateur. La désaccoutumance faite, il est facile de s'en passer. C'est de loin beaucoup moins dur que d'arrêter de fumer.
Pendant quelques temps on surprend à penser: "à telle heure il y a telle émission", et l'évidence se fait seule: "cela ne m'apportait rien". 
Quand la continuité du flot est tarie, un poste allumé devient de plus en plus agressif, comme s'il était en colère qu'une proie s'échappe. En réalité c'est que le recul se rétablit et que la prise de conscience est faite. À partir de ce moment il devient plaisant de ne pas passer par la case tv.


Satisfecit

Cela fait 12 ans que nous ne recevons plus de chaînes. Chaque mois, saison, année confirme une chose: on gagne sans y perdre en ayant pas la télévision. Nous ré-utilisons notre temps pour vivre concrètement, s'élever, aider nos enfants à se construire.
Outre cette liberté retrouvée, il est agréable aussi de ne pas contribuer au carnage via la taxe sur la redevance audio-visuelle.



[Humain, prière de ne pas oublier l'Être]


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